
Le Docteur Ernesto Guevara de la Serna, connu aussi sous le surnom du Che (qui signifie “ je ”), est de nos jours l’un des derniers mythes quant à une certaine jeunesse en mal d’égalité mais également quant à ceux qui se sentent opprimés au travers du monde.
Cet homme, qui a combattu toute la vie au travers de son symptôme dans le but de tenter d’exister, a essayé à la manière de se mettre à l’activité de l’humanité. Être décidé, pugnace, Ernesto s’identifie au père de façon d’autant plus indiquée qu’il porte également son prénom. En plus, une grande connexion œdipienne semble les lier, le fils surnommant amicalement le père El Viejo, soit le vieux. Le symptôme d’Ernesto, c’est un asthme qu’il développe lors de son plus jeune âge. Cloué au lit durant plusieurs jours, ne tolérant pas de rester inactif, il met à la bénéfice ce temps dans le but de s’imprégner d’idéologies à travers la littérature que la mère lui prête. Il dévoile, entre autres, l’œuvre de Sigmund Freud qui le enthousiasme. Ernesto adore le défi et ne se soumet pas à l’asthme. Il pratique beaucoup de sports tels que le tennis, le rugby, la boxe anglaise et la natation etc.
Animé d’une efficace pulsion de vie et d’un caractéristique beaucoup trempé, il détermine de ne pas suivre des études d’ingénieur comme le père. Il s’inscrit en médecine, déterminé à soulager la misère du monde. Pourtant, il ne s’en arrête pas là. dès deux larges voyages au travers du continent sud-américain, il réalise qu’il n’aura pas les moyens matériels de traiter les plus démunis. Il prend conscience que l’ensemble des états latino-américains endurent tous, à des degrés plus ou moins distincts, le joug des gouvernements respectifs.
Ernesto détermine alors de devenir guerillero. Les amis mexicains le surnomment le “ Che ”, égalité qui ne le quittera pas.