
Dans plusieurs occasions indépendantes de la volonté ou de celle du voyagiste, les vacances peuvent être invalidées. Comment se faire payer ? Faut-il souscrire l’assurance annulation ?
L’agence : chaque personne a encore en mémoire l’arrêt des aéroports à l’égard de cause d’éruption du volcan islandais au nom imprononçable ou de la paralysie complète due aux chutes de neige amples. Dans l’occasion de force majeure, l’agence est tenue de payer le voyage, à part si celle-ci suggère une autre destination ou un report. Au contraire, si l’annulation intervient faute de compétiteurs, l’agence doit te rembourser sans délai et vous avertir au minimum 21 jours avant le jour du départ.
Le voyageur : maladie, licenciement et décès, dans plusieurs occasions, l’annulation peut se faire sans avoir à débourser des sanctions. Sauf cas de force grande prévu au contrat, plus vous annulerez tard, plus les montants retenus seront importants : de 10% un mois par avance à quelques jours du départ. Truc : dans l’occasion de désistement, vous pouvez céder le contrat à un proche à situation d’en avertir l’agence 7 jours avant le départ par lettre avec AR. Celle-ci peut vous faire débourser un complément pour les formalités. Pourtant attention, vous restez redevable des montants alors pensez à vous arranger avec le rémunérateur de votre annulation.
C’est souvent la même histoire. quand tout roule l’assurance est perçue comme superflue, pourtant dans l’occasion de pépin on se félicite de l’avoir souscrite. Inaccessible de louper ce choix, souvent suggérée en fin de commande et « brusquement recommandée » par le tour opérateur, l’assurance annulation est soumise au contrat qui change d’un voyagiste à l’autre.
Truc : variant entre 2 et 5% du tarif du tourisme, vous pouvez quelquefois vous passer de la dépense complémentaire sans pour autant être dépourvu dans l’occasion de problème.